L’Émergence d’une conscience planétaire

Le 15è siècle est caractérisé par un véritable retournement de l’attention humaine (1). Après plus d’un millénaire « d’écoute » de la parole en provenance du royaume des cieux, l’aspiration à la connaissance, accessible par la vue, s’impose progressivement. Le désir de VOIR remplace peu à peu celui d’entendre et s’oriente de manière privilégiée vers la connaissance de l’Homme et de la Nature. De siècle en siècle, ce regard s’est affiné, se forgeant les outils indispensables à son développement :

Outils concrets :
Instruments d’observation et de mesure comme la lunette astronomique, le radiotélescope, le microscope, l’accélérateur d’ions lourds ou le synchrocyclotron….
En affinant la perception de l’environnement ces instruments ont permis à l’Homme de se rendre « comme maître et possesseur de la nature », seule ambition que l’humanité a retenue de Descartes.

Outils sensibles :
Les voies initiatiques et les techniques de développement personnel et de créativité plus ou moins dérivées des recherches en psychologie, comme les Tarots, la morphopsychologie, la graphologie, l’analyse transactionnelle, la programmation neurolinguistique (2)
Ces outils restent insuffisants si l’homme ambitionne de « se rendre maître et possesseur de lui-même ». Ces outils devraient se diversifier et se développer au cours du siècle à venir.

Outils conceptuels :
Les prouesses techniques, réalisées par l’homme depuis la Renaissance, se sont appuyées sur un seul outil conceptuel, relativement rudimentaire, devenu objet de dévotion : la logique cartésienne, linéaire et binaire, qui a réintégrée le principe aristotélicien du tiers-exclu. Depuis le début du 20e siècle, l’insuffisance de l’outil conceptuel disponible s’est fait sentir progressivement. Cette insuffisance se révèle dans les difficultés sur lesquelles achoppent la physique quantique, la prospective, la géopolitique, la gestion des ressources humaines dans l’entreprise par les nations et sur la planète toute entière, ainsi que toutes les tentatives d’interdisciplinarité et de transdisciplinarité.

De façon plus concrète, résoudre les problèmes posés par les exclusions telles que le racisme, la xénophobie, les délinquances, les échecs scolaires, les suicides, le chômage etc., ne relève pas des bons sentiments, mais bien d’outils conceptuels permettant de penser le tiers-inclus au lieu du tiers-exclu, le multidimensionnel au lieu du linéaire, l’approche globale au lieu de l’approche séquentielle, le ternaire interactif et fractal au lieu du binaire ou de la dialectique.

Les approches de la systémique (3), de la sémantique générale (4), des trois matières (5), des sciences cognitives naissantes, ont permis de débloquer quelques disciplines comme l’astronautique, la biologie, la géodynamique, la sociologie et le management. Elles n’ont pas encore permis de restructurer le regard sur le monde et sur l’Homme, et ne peuvent pas être considérés comme des outils conceptuels. Il est vraisemblable que le siècle à venir verra apparaître de nouveaux outils conceptuels permettant de VOIR les logiques structurelles du vivant et les multiples dynamiques enchevêtrées. Ces outils seront relativisés à leurs domaines de pertinence et entraîneront la relativisation de la logique cartésienne à ses propres domaines de pertinence.

Le retournement de l’attention, orienté vers l’Homme a débouché sur la responsabilité individuelle par la Réforme, le cogito cartésien, l’esprit des Lumières, la déclaration des droits de l’Homme, la mise en place de structures démocratiques, l’apparition de la psychologie et de la psychanalyse… autant de pas accomplis vers « l’homme fécondé par l’esprit » que Nietzsche a maladroitement nommé Surhomme. Car le Surhomme c’est bien l’Homme, à l’égal des dieux que nous voyons se dessiner progressivement sous nos yeux, incarnant petit à petit les rêves les plus fous de l’humanité. Homme libre, souverain, créateur, individué, en évolution permanente, apte à quérir ce qui est approprié à son évolution personnelle singulière, Homme inventant à chaque instant les attitudes adéquates à la poursuite de ses réalisations personnelles ; réalisations qu’il ne peut valider que par la contribution à l’évolution de la conscience, consciente d’elle même, en lui même, et dans l’espèce toute entière ; un Homme qui saura « déceler » son propre génie et reconnaître que celui-ci fait partie intégrante du potentiel de chacun.

La science, en luttant contre l’obscurantisme de la foi, réputée aveugle, a développé les outils pour VOIR. La science a ainsi permis de déloger le « croire » des implications avec le sacré, mais elle n’a pas encore réussi à le déloger des implications idéologiques. La montée en puissance de l’esprit scientifique a en effet engendré de nouvelles croyances, suites logiques de l’idolâtrie de la nature du 18ème siècle. Ces croyances se sont focalisées sur trois points essentiels :

  • Les hommes et les institutions aspireraient naturellement, en priorité à la survie physique et à une longévité maximum.
  • Les hommes et les institutions aspireraient spontanément à l’accroissement illimité de leurs ressources matérielles.
  • Les hommes et les institutions aspireraient à étendre leur pouvoir sur le plus grand nombre possible d’individus et de moyens.

De simples contre-exemples devraient suffire à mettre en doute leur validité.

Vouloir du pouvoir augmente en général les tensions et ne favorise donc pas la longévité. De même, vouloir disposer d’un maximum de pouvoir ou de ressources, conduit souvent à des drames, comme en témoignent les fins de vie tragiques de beaucoup de stars, les déséquilibres psychiques de bien des génies. Or ceci a des conséquences capitales. Ces croyances orientent toutes les recherches prospectives. Si ces croyances ne sont que des discours idéologiques, elles orientent tout le système sur des voies de garage. Si nous parvenons à clarifier les finalités effectives qui se dessinent on peut espérer ouvrir la voie à une autre prospective.

Pour déceler les aspirations à l’œuvre actuellement, et donc élucider les exigences du VOIR, nous avons procédé à une lecture de l’histoire depuis l’apparition d’Adam, il y a 5750 ans. Adam symbolise le premier homme « fécondable par l’esprit », celui qui possède l’étincelle divine (Aleph) dans le sang (dam). Cette apparition marque -selon le calendrier hébraïque- le début d’un cycle de 6 000 ans ( 6 jours de 1 000 ans) au bout desquels, en l’an 2239, cet Homme générique sera enfin fécondé par l’esprit et reconnaîtra en lui-même  » deux vies s’inter-fécondant dans l’existant » – traduction cabalistique de « Yaveh »-. (6)

Ces aspirations ne sont dues à aucun agent extérieur à l’humanité elle-même. Elles sont une des manifestations du déploiement de la logique interne de l’aventure de la conscience humaine.
Nous avons testé ces aspirations sur deux grandes périodes recouvrant des finalités différentes. (7)

De 2957 av-JC à 797 av-JC se déploie le système mythique dit du « Bélier », dont la religion juive est une expression.
De 797 av-JC à 1363 se déploie le système mythique dit des « Poissons » dont la religion chrétienne est à son tour une expression.

Chaque période de 2160 ans s’articule ainsi autour d’un mythe dominant, lequel peut s’étudier à l’aide d’une structure invariable que nous avons repérée. Cette structure est une combinatoire entre 6 mythes contributifs au sens du mythe dominant.

  • 2 mythes de concrétisation représentés par l’axe horizontal.
  • les orientations du système mythique représentées par les 2 mythes de l’axe vertical.
  • les caractéristiques du système représentées par un triangle composé de 3 mythes de même nature que le mythe dominant.

Dans le mythe en émergence depuis 1363 (nous avons bien entendu établi cette date avec rigueur en fonction des apparitions spectaculaires d’expressions significatives des nouvelles aspirations et en tenant compte de la logique processuelle complexe qui les sous- tend), l’axe vertical symbolise l’orientation de l’espèce vers les mythes de la liberté et de la souveraineté individuelle qui s’exprimeront par la réintégration de la divinité en l’homme, par la planétarisation de la conscience, l’aspiration des êtres à l’autonomie, à la singularité et à l’individuation.

L’axe horizontal s’articule sur les mythes de la création et des métamorphoses. Ceci s’exprime déjà sur tous les plans et dans tous les domaines sous la forme d’élaboration d’outils, de matériaux, de terrains, de richesses par une approche dynamique, évolutive, transformatrice des êtres, de leur environnement et de leurs représentations.

Le triangle actuel caractérise l’ensemble des mythes d’air, qui expriment l’interaction du visible et de l’invisible, au moment des équinoxes. Ces mythes sont orientés vers le VOIR – déceler, percevoir, explorer, distinguer sur tous les plans, concrets, sensibles, conceptuels. Ils renvoient aux trois principaux niveaux de conscience, comme à l’exploration de l’espace aérien par des machines volantes ou son utilisation pour la transmission de signaux et de vibrations. Les mythes d’air sont au nombre de trois :

  • le mythe de la gémellité qui s’exprime par les multiples miroirs qui reflètent le semblable, jusqu’au clonage.
  • celui du partage et de l’alliance qui s’exprime par le respect de la différence et la rencontre avec l’autre, le différent.
  • celui de la liberté, de l’originalité, du génie du « monde des éveillés » d’Héraclite, où l’ultime singularité rejoint l’universel.

C’est ce dernier mythe qui indique la sortie des conditionnements spatio- temporels, et la possibilité humaine d’explorer à l’infini la cohérence des logiques internes des concepts.
Un système mythique est à considérer comme une idée-semence dont le déploiement, analogue à celui des logiques du vivant, s’opère suivant douze périodes de 180 années chacune. Chaque période de 180 années se déroulant elle-même suivant douze autres sous-périodes de 15 années chacune et ainsi de suite. C’est « cet ainsi de suite » qui rend l’interprétation toujours délicate car elle oblige en permanence à recadrer l’information qu’on décode dans des contextes plus ou moins larges. Ce système mythique se manifeste de la même dans la vie des organisations sociales ou des entreprises mais avec rythmicité différente.

Le système de prospective que nous préconisons s’appuie sur des analogies entre des périodes similaires d’un point de vue mythique et sur le déroulement des phases non permutables à l’instar des saisons. C’est ce que nous développerons dans la deuxième partie. On peut en effet regarder chaque période suivant un rythme binaire ou ternaire. Le binaire permettant de repérer le moment ou le cycle s’inverse, le ternaire permettant de repérer trois périodes non permutables et fractales : une première « invisible/biologique », une suivante « visible/psycho-sociologique » et une dernière « abstraite- conceptuelle – faisant sens ». (8)

A partir de 1993 nous entrons dans la deuxième moitié de la dernière des quatre phases qui ponctuent les 720 ans « d’invisibilité ». Invisibilité signifie simplement que les finalités principales en train de croître ne sont pas encore clairement décelables. Cette deuxième moitié de période dure 90 ans, et couvrira la majeure partie du 21ème siècle. C’est le recul de 6000 ans qui nous permet de tracer les grands axes de ce qui va apparaître.

L’émergence progressive des finalités aux yeux d’un plus grand nombre va déplacer les enjeux de la planète. La plupart des penseurs occidentaux, auxquels nous nous réfèrerons dans la deuxième partie ont eu accès à des bribes de ces enjeux fantastiques, et ont tenté, avec leurs limites personnelles et historiques, de formuler ce qu’ils en ont perçu. Une évolution parallèle des aspirations dans les autres cultures fait entrevoir une dynamique analogue, qui s’exprime sous d’autres formes.

Dans le même temps, l’occident a façonné la planète, sans retenue, parfois en la mettant à feu et à sang, trop confiant dans les dévoilements fragmentaires non relativisés, souvent en se donnant bonne conscience et en s’appuyant sur l’injonction du système mythique précédent « d’aller enseigner toutes les nations ». Le 21e siècle devrait infliger un démenti aux conceptions néocolonisatrices, expansionnistes du 20e siècle. En effet, pour le nouveau mythe, chaque culture, chaque être, possède, en lui-même, les fondements nécessaires à sa régénération, à condition de le reconnaître.

Le 21e siècle va se confronter au renversement des allants-de-soi idéologiques et à l’élaboration des moyens sensibles et conceptuels plutôt que concrets pour laisser la place à l’Homme libre et souverain. Le mythe des métamorphoses joue du pouvoir du verbe, du pouvoir de faire apparaître les données dans de nouvelles relativités, de déplacer les terrains, y compris ceux de la vie, de la représentation et du sens de l’existence terrestre elle-même. Les recherches en psychanalyse, en particulier celles de Lacan, montrent l’importance de l’acte de nommer.

Le pouvoir du verbe qui joue de la mobilisation et de la maîtrise du pouvoir d’influence, des énergies psychiques, de l’inversion des valeurs et de leur relativisation, de la présence-absence en fonction des obstacles rencontrés.

Par l’activité de ce mythe les systèmes de références et de légitimation, de valorisation et de rétribution seront à la fin du siècle
prochain complètement différents de ceux en cours aujourd’hui.

Les métamorphoses s’expriment par le terrorisme et la subversion mais aussi, plus positivement, par l’intérêt pour l’évolution de la Nature, des individus, des organisations, des institutions et pour la communication, au sens de muer ensemble, dans des relations interactives transformatrices.

La montée en puissance de ce nouveau mythe s’accompagne de crainte, parce qu’il remet en cause l’approche strictement scientifique qui ne se réfère qu’au visible et au reproductible. C’est par exemple cette crainte qui alimente les fantasmes sur les pouvoirs réels des forces du type CIA, KGB, Loge P2, Maffia, sectes sataniques. Malheureusement cela a des conséquences importantes sur les tabous dont sont frappées toutes les tentatives d’évoquer la logique du pouvoir – qu’il s’agisse du pouvoir sur les autres ou sur soi-même.

Le mythe en formation amènera l’homme à déceler en lui- même un potentiel illimité et le pouvoir de l’actualiser. En réintégrant progressivement en lui la « divinité », l’homme se réappropriera la responsabilité pleine et entière de sa propre vie, ce qui lui confèrera une liberté consubstantielle et non plus, seulement, consentie.

La seule attitude compatible avec le nouveau système mythique est alors la reconnaissance de la liberté consubstantielle à l’existence humaine même, reconnaissance impliquant un respect rigoureux de l’altérité et de la responsabilité. Ce qui engendre inéluctablement que le seul véritable pouvoir est celui sur soi-même et que l’exercice de tout pouvoir sur les autres n’est que l’expression d’un déficit.

La perception des implications de ce pouvoir et l’entraînement à son exercice sera une des grandes questions qui dominera le siècle à venir. Sa mise en évidence réorientera les recherches et fournira un système de références au développement des outils concrets, sensibles et conceptuels, y compris à l’intérieur du système technique. Celui-ci sera soumis à une évaluation en fonction de ses contributions à l’évolution de la conscience humaine et à l’évolution de la liberté.

L’accession à la souveraineté individuelle, liée à cette aspiration, nécessite absolument que tous les choix à opérer au cours d’une vie procèdent d’une échelle de valeurs singulière.
La montée en puissance de l’aspiration à la liberté entraîne, dans sa logique interne, la fin des appartenances, de type religieux ou laïques, qui programmaient jusqu’ici les esprits. L’appartenance, en échange d’une protection, sous-entend toujours le sacrifice d’une parcelle de liberté d’être, de penser et d’agir, et par là, ouvre la voie à toutes les fuites devant les responsabilités personnelles.

Le nouveau système mythique amènera l’être humain à la conscience de son pouvoir sur ses programmes mentaux, lui permettant de les élaborer lui-même et de développer une pluralité de grilles de lecture, validées par lui-même, pour optimiser ses performances dans la poursuite de ses finalités ou des modes de vie souhaités.

Dans les 90 ans à venir le débat s’enrichira de données de plus en plus subjectives. Il s’établira sur un plan de plus en plus conceptuel. L’idée de reprogrammation des esprits, comme on reprogramme des mémoires informatiques, n’est pas à écarter. Les êtres humains cesseront ainsi d’être tributaires des seules représentations imprimées par leur culture d’origine et leurs appartenances successives.

Cela débouchera immanquablement sur d’autres exigences et critères de validation pour évaluer les institutions. Cela développera une efficacité redoutable par rapport aux performances actuelles, et déplacera les enjeux. En maîtrisant les processus de création de richesses, les querelles fondées sur la répartition des richesses cumulatives s’évanouiront peu à peu.

Les querelles et d’une façon générale les chocs frontaux en batailles rangées avec des victimes sacrifiées ne sont guère compatibles avec le nouveau mythe, plus orienté vers des démarches diplomatiques, des négociations machiavéliques, par déplacement des terrains et des enjeux.

En deux ou trois générations, l’accession au pouvoir créateur des individus se produira dans des zones interstitielles, là, où la conscience des limites des anciennes représentations est la plus forte. Ceci se fera de façon totalement différente des processus classiques d’apprentissages, vus en termes d’accumulation de savoirs et de moyens.

Toute attitude attentiste, reflétée par la démarche de l’ignorant qui attend qu’on lui déverse un savoir, ou celle du pauvre qui fait la manche, sera perçue comme sclérosante et entraînera un décrochage de l’évolution générale.

Le mythe exige le renversement de la charge de l’initiative.

L’éducation visera à rendre chaque être apte à quérir les informations et les moyens nécessaires à la réalisation de ses projets personnels.

Tout ceci bouleversera les relations humaines, privilégiant les fonctionnements à synergie positive.

L’interrogation essentielle est de savoir si cette reprogrammation généralisée sera confisquée par des spécialistes ou bien si le pouvoir individuel évoluera suffisamment vite pour qu’elle devienne un des attributs de la souveraineté individuelle ?

Institut de Recherche sur la Communication
Elisabeth MEICHELBECK

Bibliographie
1. Regards sur les nouveaux modes de penser dans l’entreprise Antoine Valabrègue Symbolium – CPE
2. Jean-Charles Pichon : Le Jeu de la Réalité (Cohérence) Tome 1 Les précis ridicules, Tome 2 La machine de l’Éternité
3. Recherches en cours Institut de Recherche sur la Communication publiés par Sophon.
4. La vie au cube Agnès Lacourly Ed. Sophon, Adam ou la géométrie incarnée J. Enlart Cohérence/Sophon Les certitudes oubliées J. Enlart Cohérence/Sophon
5. L’Europe philosophe Jean Brun Ed. Stock
6. Séminaires sur les grands déséquilibres mondiaux CPE (1988-1989) Séminaires d’Ethnotechnologie Collège international de Philosophie (1987-1988)
7. Évangiles
8. La Bible restituée Carlo Suarès (Cohérence)
9. Travaux du Dr. Catherine Lemaire Contribution au séminaire Symbolium (1988).
10. Travaux de Charles Krejtmann Séminaire d’Ethnotechnologie Collège International de Philosophie.

Autres ouvrages inspirants :
L’écoute des Silences T. Gaudin (éditions 10/18)
Fondements humains des programmes et des métaprogrammes Ch. Enlart, (Cohérence). Travaux de John Lilly
Au-delà du miroir. (Interéditions) Travaux sur la Programmation Neuro-linguistique (PNL)
Descartes et l’ordre politique Pierre Guenancia (Puf)
L’Ange Masqué, Traité de l’Intelligible et du Sensible. Carlo Suarès (Cohérence- Sophon)
La théorie générale des systèmes L. von Bertalanffy Dunod
Science and Sanity Korzibski
Les 3 matières S. Lupasco Sophon